La groupe :
Zoé Colotis: chant
Camille Chapelière : saxophone, clarinette
Arnaud Vial: guitare, machines
Charles Delaporte: basse, claviers
Hugues Payen: violon, claviers
Antoine Toustou : trombone, machines
Paul-Marie Barbier: vibraphone, piano

Bio :

En 2005, Arnaud Vial, Hugues Payen et Charles Delaporte sont sollicités pour composer la B.O d’un film porno muet des années 20.

En 2006, ils s’inscrivent sur Myspace afin de trouver une chanteuse. Le jour même, ils reçoivent un message de Sonia Fernandez Velasco alias Colotis Zoé. « On a reçu un jour le message de cette petite nana qui nous dit : Ouah, fan numéro 1, je suis chanteuse, écoutez mes morceaux.’’ On s’est rencontré autour d’un bœuf sur Paris, et ça a tout de suite collé. » (evene.fr, 2012)

« Fin 2006, un pote qui bossait chez Sony nous a filé une démo qui tournait sous le manteau. Justice nous a mis une vraie baffe… et nous a décomplexés. La platitude est un travers où on tombe facilement en électro jazz. On a longtemps cherché un relief sans arriver à mettre le doigt dessus. Puis on a compris qu’on pouvait faire de l’électro manouche ou de l’électro swing autrement que sur du down-tempo et des rythmes fondamentalement lents. Avec Justice, d’un coup, un nouveau monde s’est ouvert à nous. » (lesoir.be, 2009)

En 2007, Arnaud, Hugues et Charles composent trois morceaux pour ¬Patricia Kaas, pourtant à des ¬années-¬lumière de leur univers. « C’était intéressant de faire un travail de commande. C’était un défi ». (parismatch.com, 2009)
En 2008, Caravan Palace sort son premier album éponyme qui s’écoule à 150 000 exemplaires. (rfimusique.com)

En 2012, ils sortent l’album « Panic » un peu différent du premier. Il y a notamment un peu plus de synthés. « Allez, disons le tout net, il est plus electro…On est friand de musique électronique, on avait envie d’en rajouter une petite couche par rapport au premier. A l’époque, c’était un souci permanent de ne pas privilégier, ni le swing, ni l’electro, et quelque part, je pense que ça nous a légèrement bridés sur certains aspects. Dès que nous avons pris la décision de nous lâcher sur les synthés pour le second, ça nous a permis de retrouver une certaine liberté. On écoute tous énormément de musiques électroniques et un peu moins de swing. Du coup, ça s’en ressent dans Panic. » (mandor.fr, 2012)

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