BIOGRAPHIE

1996

Tayc, de son vrai nom Julien Bouadjie, est né le 2 mai 1996 à Marseille.

« Enfant, j’ai jamais vraiment eu de modèle. Je voulais juste compter parmi les Usher, les Chris Brown, les Ne-yo. Je rêvais d’être un petit des Etats-Unis. J’adorais les films américains, le basket.» (ofive.com)

« Petit, j’écoutais en boucle la chanson ‘’Allez les bleus’’ de Johnny Hallyday. Le premier album qui m’a bercé c’est ‘’Fame’’ de Chris Brown. Je devais avoir 15 ans. Je suis tombé amoureux du r’n’b grâce à lui. » (melty.fr)

2012

Il quitte sa ville natale pour s’installer à Paris. C’est là, au sein de la capitale, qu’il se découvre une véritable passion pour le chant. D’abord attiré par l’univers du théâtre et de la danse, Tayc s’oriente progressivement vers la musique et l’écriture. (nrj.fr)

« J’étais dans un internat dans lequel il y avait un studio d’enregistrement. C’est là-bas que j’ai commencé la musique, mes premiers pas dans un studio et je n’en suis jamais sorti (rires). J’ai fait un peu de gospel pendant 2-3 mois, puis j’ai fréquenté une église. Ensuite, j’ai intégré un groupe de danse, avant de me focaliser définitivement sur la chanson. » (rootsmagazine.fr)

« J’ai commencé à chanter à Marseille et, Dieu sait qu’à l’époque, c’était compliqué. Les esprits étaient un peu fermés. Je chantais en cachette dans les toilettes de mon collège (rires). On ne donnait du crédit qu’à ceux qui faisaient du rap, ceux qui étaient dans le chat étaient affublés de toutes sortes de commentaires désobligeants. A l’époque, c’était une ville très aliénée, tu ne peux pas chanter, tu ne peux pas mettre tel type de vêtements, etc. Aujourd’hui les esprits sont plus ouverts. Je gardais la musique pour moi, jusqu’à ce que j’arrive à Paris. Les mentalités étaient différentes, tu pouvais y faire ce que tu voulais et c’est là que les gens m’ont fait comprendre que j’avais un vrai talent et que je devais pousser le chant. » (rootsmagazine.fr)

Un don que vous tenez de votre famille ?
« Pas du tout, absolument personne dans ma famille n’était dans le domaine artistique, même si j’avais une grande sœur qui chantonnait, mais rien de sérieux. Vous savez, je suis d’origine camerounaise et, chez nous, le domaine artistique est mal perçu. Quand je me suis mis à la danse, c’était la guerre dans ma famille. Ma mère ne voulait absolument pas en entendre parler. Je me réveillais à minuit et devais faire le mur pour aller danser toute la nuit dans les gares. On ne prenait pas un rond mais on kiffait ! Ma mère a compris, petit à petit, mais au départ c’était très compliqué. Elle voyait la réussite dans ce type d’activité comme quelque chose de très lointain et incertain. Pour elle, la réussite passait par les diplômes. Aujourd’hui, tout est différent. Je peux dormir en sachant que mes parents sont fiers de moi. Pouvoir subvenir aux besoins de sa famille, c’est la plus belle des choses ! Encore plus pour moi, car je suis le benjamin. » (rootsmagazine.fr)

2017

Il sort sa première mixtape intitulée « Alchemy ». (nrj.fr)

2018

Il publie sa deuxième mixtape, « H.E.L.I.O.S ». (nrj.fr)

Il signe sur le label H24 Music, fondé par Barack Adama, membre de Sexion d’Assaut. (nrj.fr)

2019

En moins de douze mois, il enregistre et commercialise deux suites à sa mixtape "NYXIA" ("NYXIA Tome II" et "NYXIA Tome III"). (nrj.fr)

Il rend hommage à ses origines camerounaises en s’associant au saxophoniste Manu Dibango pour la sortie du titre « Ewondo ou Bami ». (nrj.fr)

Il enregistre les titres « Please » avec Dadju et « Trip » avec Lefa. (nrj.fr)

2020

Son titre « N’y pense plus » est l’un des tubes de l’été. Streamé plus de 38 millions de fois, ce premier single, certifié platine, s’est hissé au top 50 mondial sur Shazam. (20minutes.fr, 2020)

« 2020 c’est l’année de la frustration, celle où j’ai eu beaucoup de succès mais je n’ai rien pu faire à cause de la crise sanitaire. » (Le Code, 2021)

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